mardi, octobre 03, 2006

Vas !

J'ai bien lu ton soupir
sur l'écran de tes vers
et pourquoi ne pas dire
comme c'est beau Malivert

Ce soupir donne l'image
de ma tente bien aimée
cette demeure dont la rage
a détruit le palmier

Ce recoin de l'histoire
O combien avili
et l'éclat de ton phare
au secours de sa vie

Sa douleur est certaine
c'est du fiel O poete
que vaut plus pour sa peine
que ta si belle requête

Et mon âme toute fidèle
dans son coeur enfantin
a salue ta chandelle
ta pitié et ta main.

LE BEAU, FRANTZ
TOUS DROITS RESERVES, AOUT 2006, BOSTON

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