lundi, octobre 02, 2006

O poete !

Tandis que je sommeille
dans ma nuit solitaire
et tes vers si sincères
me piquent et me réveillent

Le soleil de ton verbe
suit son cours infini
on dirait que sa nuit
s'attendait à mes gerbes

Et ma voix suppliante
oubliant son malheur
lui frédonne dans son coeur
sa chanson souriante.

LE BEAU, FRANTZ
TOUS DROITS RESERVES, AOUT 2006, BOSTON

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