Sous la brise découdée
De ton corps enfoui
Je dépose cette soirée
De couleurs et vies
Je mesure tes mémoires
Enroullés dans mon sang
Et encore ton regard
Et tes rides ... O maman !
Puis, je ris ce mystère
Qui dérobe ton sourire
Ce chemin sans parterre
Où tu vas sans mot dire .
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
jeudi, novembre 30, 2006
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