Dans le couloir des nuits
Dénudées, vaines, rudes, et sales
Se déversent des torrents
De pierres sombres et nerveuses
Une odeur salée se complète
A la sueur trépidante
Des vaisseaux trop longtemps
Contrariés et cinglants
La laideur effrayante
De ses urnes crématoires
Se fige dans des filets
Semblables a des cachots
Et du tout débordant
Grimace un air haineux
Puis le train qui s'annonce
Sous une pluie torrentielle .
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
mercredi, novembre 29, 2006
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