Elle s'abat sur la rose
Comme un dieu primitif
Emportant anges et causes
Sous ses fers abusifs
Sa lueur indicible
Rend la vie aigre et morte
Tirs nourris, et visibles
Sont lisibles sur sa porte
Et la fuite des cerveaux
Suit le sang de son verbe
Comme la nuit du tombeau
Et ces mots, et ces gerbes .
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
jeudi, novembre 30, 2006
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