Tu faufiles sous le ton
Funebre du carillon
Et la glace de ton bois
Et le bruit de ces voix
Tu effraies l'arrogance
De la toute existence
Et ainsi toute flanquee
Elle sourit ton marche-pieds
Et l'enfant qui te suit
Dans sa nuit infine
Pleure encore ce teint sombre
Qui defile sur son ombre .
Frantz Le Beau
mardi, décembre 05, 2006
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