Des cendres froides de ma honte
Je reviens mon amour
Car raison tu l'as bien
Rien d'amour au dehors
Ne pouvant tout porter
Pour prouver mes déboires
Je remets dans tes paumes
Ce coeur tout refroidi
Dans l'espoir que mon sort
Connaitra ta pitié
Me voici ma chérie
Pour mon absolution
Tu es bien l'ultime pôle
Pour ce moi trop bohème
Un sein bourré de lait
Pour ce gourmant déÇu
Tu es la voix sincère
Qui se répand aux sourds
La délivrance certaine
Pour des gamins troublés
Je viens me confesser
Sous l'ombre de ta chaude robe
Afins que mes lendemains
Me soient plus souriants
Dis-moi encore tes mots
Qui me berÇaient jadis
Ces teintes qui sans couleur
Colorent l'amour en rose
Je veux que tu oublies
Ce simple malentendu
Ce tout petit de rien
Qui pense troubler l'amour
Frantz Le beau
mardi, mars 18, 2008
lundi, mars 17, 2008
Tu as raison
Des cendres froids de ma honte
Je reviens mon amour
Car raison tu l'as bien
Rien d'amour au dehors
Ne pouvant tout porter
Pour prouver mes déboires
Je remets sous tes feux
Ce coeur endolori
Dans l'espoir que ta paix
Saura bien lui donner
L'aliment nécessaire
Pour son refonctionnement
Tu es bien l'ultime pôle
Pour les soleils bohèmes
Un sein bourré de lait
Pour les gourmants trahis
Je viens tout confesser
Pour recouvrer mon âme
Afins que mes lendemains
Me soient plus souriants
Dis-moi encore tes mots
Qui me berÇaient jadis
Ces ors qui sans couleurs
Colorent l'amour en rose
Je veux que tu oublies
Ces heures longtemps passées
Ce tout petit de rien
Qui pense troubler l'amour
Frantz Le beau
Je reviens mon amour
Car raison tu l'as bien
Rien d'amour au dehors
Ne pouvant tout porter
Pour prouver mes déboires
Je remets sous tes feux
Ce coeur endolori
Dans l'espoir que ta paix
Saura bien lui donner
L'aliment nécessaire
Pour son refonctionnement
Tu es bien l'ultime pôle
Pour les soleils bohèmes
Un sein bourré de lait
Pour les gourmants trahis
Je viens tout confesser
Pour recouvrer mon âme
Afins que mes lendemains
Me soient plus souriants
Dis-moi encore tes mots
Qui me berÇaient jadis
Ces ors qui sans couleurs
Colorent l'amour en rose
Je veux que tu oublies
Ces heures longtemps passées
Ce tout petit de rien
Qui pense troubler l'amour
Frantz Le beau
dimanche, mars 16, 2008
J'attends ...
Par la fenêtre
Belle lurette je me tiens
Attendant ton retour
Parce que
Quelqu'un me disait tout à l'heure
Que tu étais passée
Emportant avec toi
Et le soleil qui souriait
Et les roses qui respiraient
Et les oiseaux qui chantonnaient
J'attends juste pour voir
Comment sera ma nuit
Quand je sais qu'un simple cillement de ta part
Suffit pour faire accéder
Au ciel le plus profond des cieux
J'attends à que ce ma vie change complètement
A l'aide d'un sourire
Provenant de ton coeur radieux.
Frantz Le beau
Belle lurette je me tiens
Attendant ton retour
Parce que
Quelqu'un me disait tout à l'heure
Que tu étais passée
Emportant avec toi
Et le soleil qui souriait
Et les roses qui respiraient
Et les oiseaux qui chantonnaient
J'attends juste pour voir
Comment sera ma nuit
Quand je sais qu'un simple cillement de ta part
Suffit pour faire accéder
Au ciel le plus profond des cieux
J'attends à que ce ma vie change complètement
A l'aide d'un sourire
Provenant de ton coeur radieux.
Frantz Le beau
dimanche, avril 22, 2007
L'enfant prodigue
Non manman
Ouvre-toi
Je suis plus
Rien d'autre encore
Plus rien d'autre
Que ce ruisseau
S'approchant
Timidement
Jusque vers
Les eaux feeriques
De ta mer claire, limpide, et douce
Oui
Ce rayon brumeux, pale, et frele
S'avancant honteusement
Jusque vers les velours
Du soleil de ton sourire
O combien attirant !
Cet oiseau volatile
Vagabond, et stupide
Dont le coeur chagrine
Cherche a toucher
Le bleu d'indigo
Du firmament de ton ciel d'amour
Ce gamin contemplant soigneusement
La splendeur de ton jardin
Fleuri de cedres, d'enfants, et de violettes
Manm, je suis plus rien d'autre encore
Plus rien d'autre
Que cette plaie qui attend impatiemment
Le pansement de ta main
Berceuse, gracieuse, et guerisseuse
Ton enfant cheri
Qui laisse tout derriere lui
Pour venir te dire bonne manman .
Frantz le beau
Ouvre-toi
Je suis plus
Rien d'autre encore
Plus rien d'autre
Que ce ruisseau
S'approchant
Timidement
Jusque vers
Les eaux feeriques
De ta mer claire, limpide, et douce
Oui
Ce rayon brumeux, pale, et frele
S'avancant honteusement
Jusque vers les velours
Du soleil de ton sourire
O combien attirant !
Cet oiseau volatile
Vagabond, et stupide
Dont le coeur chagrine
Cherche a toucher
Le bleu d'indigo
Du firmament de ton ciel d'amour
Ce gamin contemplant soigneusement
La splendeur de ton jardin
Fleuri de cedres, d'enfants, et de violettes
Manm, je suis plus rien d'autre encore
Plus rien d'autre
Que cette plaie qui attend impatiemment
Le pansement de ta main
Berceuse, gracieuse, et guerisseuse
Ton enfant cheri
Qui laisse tout derriere lui
Pour venir te dire bonne manman .
Frantz le beau
lundi, avril 02, 2007
Merci
Oui
Vraiment
J'ai tout
Constate
Sur le port
J'ai bien vu
La mer
Les bateaux
Les chiens
Et les ombres .
Frantz Le beau
Vraiment
J'ai tout
Constate
Sur le port
J'ai bien vu
La mer
Les bateaux
Les chiens
Et les ombres .
Frantz Le beau
lundi, mars 12, 2007
dependant
Fontainebleau
La fontaine
Je bois l'eau
Comme tout taine
Comme toute plante
Sans racines
Je ris Dante
Et m'incline
Au mole hier
Je riais
Le pre vert
De Rabelais
Lui qui fut
Une merveille
Devolue
A Montaigne
Puis le noir
Tout humide
De ses soirs
D'invalides .
Frantz Le beau
La fontaine
Je bois l'eau
Comme tout taine
Comme toute plante
Sans racines
Je ris Dante
Et m'incline
Au mole hier
Je riais
Le pre vert
De Rabelais
Lui qui fut
Une merveille
Devolue
A Montaigne
Puis le noir
Tout humide
De ses soirs
D'invalides .
Frantz Le beau
mardi, mars 06, 2007
Esclave des pages retrouvees
Putains des pages lointaines
J'ai pas connu d'autres sorts
La trace de mes grands morts
L'eau pure de leurs fontaines
Pardon tant sur mes levres
Mes yeux brouilles de larmes
Pourtant seuls mes gendarmes
Peuvent attenuer mes fievres
Ainsi je vis ma vie
En rame dans ma geole
Leurs mains sur mon epaule
Mon coeur au grand maquis
Et toi qui m'es pareil
Esclave des pages trouvees
Que la belle envolee
De leurs dieux te conseille .
Frantz Le beau
J'ai pas connu d'autres sorts
La trace de mes grands morts
L'eau pure de leurs fontaines
Pardon tant sur mes levres
Mes yeux brouilles de larmes
Pourtant seuls mes gendarmes
Peuvent attenuer mes fievres
Ainsi je vis ma vie
En rame dans ma geole
Leurs mains sur mon epaule
Mon coeur au grand maquis
Et toi qui m'es pareil
Esclave des pages trouvees
Que la belle envolee
De leurs dieux te conseille .
Frantz Le beau
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