Non manman
Ouvre-toi
Je suis plus
Rien d'autre encore
Plus rien d'autre
Que ce ruisseau
S'approchant
Timidement
Jusque vers
Les eaux feeriques
De ta mer claire, limpide, et douce
Oui
Ce rayon brumeux, pale, et frele
S'avancant honteusement
Jusque vers les velours
Du soleil de ton sourire
O combien attirant !
Cet oiseau volatile
Vagabond, et stupide
Dont le coeur chagrine
Cherche a toucher
Le bleu d'indigo
Du firmament de ton ciel d'amour
Ce gamin contemplant soigneusement
La splendeur de ton jardin
Fleuri de cedres, d'enfants, et de violettes
Manm, je suis plus rien d'autre encore
Plus rien d'autre
Que cette plaie qui attend impatiemment
Le pansement de ta main
Berceuse, gracieuse, et guerisseuse
Ton enfant cheri
Qui laisse tout derriere lui
Pour venir te dire bonne manman .
Frantz le beau
dimanche, avril 22, 2007
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