Putains des pages lointaines
J'ai pas connu d'autres sorts
La trace de mes grands morts
L'eau pure de leurs fontaines
Pardon tant sur mes levres
Mes yeux brouilles de larmes
Pourtant seuls mes gendarmes
Peuvent attenuer mes fievres
Ainsi je vis ma vie
En rame dans ma geole
Leurs mains sur mon epaule
Mon coeur au grand maquis
Et toi qui m'es pareil
Esclave des pages trouvees
Que la belle envolee
De leurs dieux te conseille .
Frantz Le beau
mardi, mars 06, 2007
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