Nous revoici ... O Grand Amour
Sous les eclats de ton parvis
Et le parfum de tes velours
Et ta grandeur toute infinie
Nous voici sous tes yeux guerisseurs
Comme des plantes dont la soif accapare
Connaissant la bonte de ton coeur
Nous venons nous courber ... O Grand phare
Pas une ride haineuse sur ton front
Pas un point tiedeux dans ton verbe
Le meme teint qui suit ton sermon
Suit aussi tes heures si acerbes
Pas un coin brumeux dans ta ville
Pas une plume sordide sur ton port
Et tout coeur baignant dans ton nil
Se relève joyeux comme le cor
Tu t'éloignas loin de ton trone
Aux fins de lier la terre aux cieux
Et te laissas jugé à l'aune
D'un monde si vil et ténébreux
Ton sang vivement irrefragable
Ne tient pas l'homme de par son pole
L'exemple frappant est cet étable
Ou tu portas toute la parole
Et cette parole toute éternelle
Sur qui s'appuie ta belle église
Le grand amour qui coule en elle
Ainsi ta gloire qui s'éternise
Sa voix sourit à tout moment
C'est comme un frère autour des frères
Aussi limpide elle suit ton sang
Et par ton sang elle régénère
Unique, certaine, et charitable
Amour, tendresse, et son prétoire
Semblable à elle est impensable
De près, de loin elle est miroir
Son sens suprême étend le voeux
Si bien en elle n'a point de haine
Et qu'en tous lieux elle rend heureux
La vie sans toi est vide et vaine .
mardi, décembre 12, 2006
samedi, décembre 09, 2006
Mon Dieu
Je feutre mes lettres humides
Sur les colonnes robustes
De ton soleil splendide
Et des vents si injustes
Sement deja l'amertume
Dans le coeur de ma plume
Je proclame Ta Grandeur
Faite de verbe et d'amour
Et leur ton tentateur
Me poursuit comme des ours
Pretextant que mes voeux
Ne tiennent pas leurs aveux
Et quand bien ma priere
Se debat dans le gouffre
Ils l'expient comme une pierre
Dans un riz qui s'engouffre
Et le froid m'envahit
Comme la brume infinie
Puis le souffle du vertige
De leurs voeux assassins
Et la haine qui se fige
Sur mon front de gamin
Et le feu de l'enfer
Qui grimace entre freres .
Frantz Le beau
Sur les colonnes robustes
De ton soleil splendide
Et des vents si injustes
Sement deja l'amertume
Dans le coeur de ma plume
Je proclame Ta Grandeur
Faite de verbe et d'amour
Et leur ton tentateur
Me poursuit comme des ours
Pretextant que mes voeux
Ne tiennent pas leurs aveux
Et quand bien ma priere
Se debat dans le gouffre
Ils l'expient comme une pierre
Dans un riz qui s'engouffre
Et le froid m'envahit
Comme la brume infinie
Puis le souffle du vertige
De leurs voeux assassins
Et la haine qui se fige
Sur mon front de gamin
Et le feu de l'enfer
Qui grimace entre freres .
Frantz Le beau
vendredi, décembre 08, 2006
O Cherie
Sans un bruit
Sans un cri
Tu souris
Ma cherie
Comme tu fuis
Aujourd'hui
Les messies
Indecis
Ton parvis
Brille aussi
Attendri
Sur le lys
O Marie
Qui se lie
A l'esprit
Infini
Et depuis
Je maudis
Mes minuits
De jadis .
Frantz Le beau
Sans un cri
Tu souris
Ma cherie
Comme tu fuis
Aujourd'hui
Les messies
Indecis
Ton parvis
Brille aussi
Attendri
Sur le lys
O Marie
Qui se lie
A l'esprit
Infini
Et depuis
Je maudis
Mes minuits
De jadis .
Frantz Le beau
Je me rends Seigneur
Sur le noir sentier creux
D'un vieux moi insoucieux
Je me mets a la queue
A ta quete ... O mon Dieu
Mon visage tout hideux
Des discours impetueux
Et mon tout incestueux
Me voici sous tes yeux
Des elans crapuleux
Ont souille mes aveux
Quand mon sang tourne au bleu
Sous mes cris tempetueux
Me voici tout honteux
Sur le banc sulfureux
Et mon teint trop haineux
Et l'espace venimeux
Que tes voeux amoureux
Tuent mes reves vaniteux
Afin que glorieux
Tu me rive vers tes cieux .
Frantz Le beau
D'un vieux moi insoucieux
Je me mets a la queue
A ta quete ... O mon Dieu
Mon visage tout hideux
Des discours impetueux
Et mon tout incestueux
Me voici sous tes yeux
Des elans crapuleux
Ont souille mes aveux
Quand mon sang tourne au bleu
Sous mes cris tempetueux
Me voici tout honteux
Sur le banc sulfureux
Et mon teint trop haineux
Et l'espace venimeux
Que tes voeux amoureux
Tuent mes reves vaniteux
Afin que glorieux
Tu me rive vers tes cieux .
Frantz Le beau
mardi, décembre 05, 2006
O Petit cercueil
Tu faufiles sous le ton
Funebre du carillon
Et la glace de ton bois
Et le bruit de ces voix
Tu effraies l'arrogance
De la toute existence
Et ainsi toute flanquee
Elle sourit ton marche-pieds
Et l'enfant qui te suit
Dans sa nuit infine
Pleure encore ce teint sombre
Qui defile sur son ombre .
Frantz Le Beau
Funebre du carillon
Et la glace de ton bois
Et le bruit de ces voix
Tu effraies l'arrogance
De la toute existence
Et ainsi toute flanquee
Elle sourit ton marche-pieds
Et l'enfant qui te suit
Dans sa nuit infine
Pleure encore ce teint sombre
Qui defile sur son ombre .
Frantz Le Beau
dimanche, décembre 03, 2006
La Paix
Non ne dégaine pas encore
Jettes cette arme
Tiens cette rose
Epingle-la
Sur ton coeur
Puis
Vas auprès de ton armenier
Dis-lui, tu n'en veux pas
Vas au fond de ton arsenal
Prends tout
Et, jette tout
Qu'ils soient beretta
Calibre 45
Calibre 38
Magnum
M 16
M 17
Uzi
Chars
Rockets
Lance-flamme
Dynamites
Avions-chasseurs
Missile
Tout ce dont tu n'auras pas besoin
Pour ton éternité, ton salut
Tout ce qui détruit la vie
Le respect
L'humanité
L'entente
La paix
Tout ce qui tue pour rien
Pour rien .
Frantz Le beau
Jettes cette arme
Tiens cette rose
Epingle-la
Sur ton coeur
Puis
Vas auprès de ton armenier
Dis-lui, tu n'en veux pas
Vas au fond de ton arsenal
Prends tout
Et, jette tout
Qu'ils soient beretta
Calibre 45
Calibre 38
Magnum
M 16
M 17
Uzi
Chars
Rockets
Lance-flamme
Dynamites
Avions-chasseurs
Missile
Tout ce dont tu n'auras pas besoin
Pour ton éternité, ton salut
Tout ce qui détruit la vie
Le respect
L'humanité
L'entente
La paix
Tout ce qui tue pour rien
Pour rien .
Frantz Le beau
Amour et sacrifice
Je fuis la ruche volante
De mon etre juvénile
Juste pour me retrouver
Sous tes yeux militaires
Je me déments moi-même
Et mes cieux, et mes lunes
Juste pour corroborer
Mon coeur dans ses attraits
Et enfin me voici
Sous tes verroux cruels
Afin que tu me fasse
Aumone de ton amour .
De mon etre juvénile
Juste pour me retrouver
Sous tes yeux militaires
Je me déments moi-même
Et mes cieux, et mes lunes
Juste pour corroborer
Mon coeur dans ses attraits
Et enfin me voici
Sous tes verroux cruels
Afin que tu me fasse
Aumone de ton amour .
Toi qui me fais aumone
O toi qui interprètes la chanson de mon être
Prends-moi de par la quête qui te guide en effet
Le soleil du matin qui jadis pénètrait
Les fissures de mes mains par la grande fenêtre
Tu es pareille aux perles glorifiant sur les mers
Car trop claire et trop belle pour sourire a ma peur
Comparant mon passé a ta grande lueur
Je ne fais qu' abuser l'omniscience du bon pére
Lui qui tend ton pur sang a mon sang trop fendu
Pour que cessent les tourments sur ma route infinie
Que la vague de sa grâce t'accompagne en Jésus
Et déferle sur ta face toute l'image de la vie .
Frantz Le beau
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
Prends-moi de par la quête qui te guide en effet
Le soleil du matin qui jadis pénètrait
Les fissures de mes mains par la grande fenêtre
Tu es pareille aux perles glorifiant sur les mers
Car trop claire et trop belle pour sourire a ma peur
Comparant mon passé a ta grande lueur
Je ne fais qu' abuser l'omniscience du bon pére
Lui qui tend ton pur sang a mon sang trop fendu
Pour que cessent les tourments sur ma route infinie
Que la vague de sa grâce t'accompagne en Jésus
Et déferle sur ta face toute l'image de la vie .
Frantz Le beau
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
samedi, décembre 02, 2006
L' inoubliable
Qui ne s'en souviendra
De ton sang, de ta croix
Le supplice insensé
Que tu as enduré
Les injures, et outrages
Infligés à tes pages
Et ces mots rassurants
Au larron repentant .
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES
De ton sang, de ta croix
Le supplice insensé
Que tu as enduré
Les injures, et outrages
Infligés à tes pages
Et ces mots rassurants
Au larron repentant .
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES
vendredi, décembre 01, 2006
Mystere
Je vis le sceau du ciel
Sur ta robe de déesse
La sueur de Gabriel
Sur ton corps tout en liesse
Je vis sur tes souliers
Des grêles de galaxie
De cedres entrecroisés
Rideaux, rimes, et parvis
Semblable au grand silence
Je vis le tout en toi
La grâce et la conscience
La paix et l'au-delà
Qui es-tu ? O amour !
Qui es-tu ? O espoir !
Puisse Ton coeur de velours
Rimer à mon prétoire .
Frantz Le beau
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
Sur ta robe de déesse
La sueur de Gabriel
Sur ton corps tout en liesse
Je vis sur tes souliers
Des grêles de galaxie
De cedres entrecroisés
Rideaux, rimes, et parvis
Semblable au grand silence
Je vis le tout en toi
La grâce et la conscience
La paix et l'au-delà
Qui es-tu ? O amour !
Qui es-tu ? O espoir !
Puisse Ton coeur de velours
Rimer à mon prétoire .
Frantz Le beau
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
Le Sauveur
Je ne sais pas grande chose,
Je ne vante pas ma glucose
Ni m'expose ni m'explose
Ni m'attise ni m'impose
Mais je sais, sans prendre cause,
Que sa croix est une rose
Inclinée aux moroses
Et à l'ombre qui s'oppose .
Frantz Le beau
Je ne vante pas ma glucose
Ni m'expose ni m'explose
Ni m'attise ni m'impose
Mais je sais, sans prendre cause,
Que sa croix est une rose
Inclinée aux moroses
Et à l'ombre qui s'oppose .
Frantz Le beau
Extravagance
Ton coeur
S'ajoutant à mes soirs
M'est comme un ciel luisant
Mille espaces, mille lanternes
Tes mains
C'est une nuit qui s'annonce
Sans que l'ombre de quatre heures
N'en tienne compte de son plein
Tes yeux
On dirait que les lunes
Se désistent de bon gré
Car étant convaincues
Tes joues
Ce sont des perles perdues
Sous la nuit onduleuse
D'un printemps détourne
Tes hanches
O j'ai peur a y croire
Car trop denses, trop houleuses
Leur vertige m'assassine
Ton nom
O ce verbe parfumé
Me hantant corps et âme
Meme mes rêves et ma lampe
Meme le ton de ma plume .
Frantz Le beau
TOUS DROITS RESERVES< BOSTON
S'ajoutant à mes soirs
M'est comme un ciel luisant
Mille espaces, mille lanternes
Tes mains
C'est une nuit qui s'annonce
Sans que l'ombre de quatre heures
N'en tienne compte de son plein
Tes yeux
On dirait que les lunes
Se désistent de bon gré
Car étant convaincues
Tes joues
Ce sont des perles perdues
Sous la nuit onduleuse
D'un printemps détourne
Tes hanches
O j'ai peur a y croire
Car trop denses, trop houleuses
Leur vertige m'assassine
Ton nom
O ce verbe parfumé
Me hantant corps et âme
Meme mes rêves et ma lampe
Meme le ton de ma plume .
Frantz Le beau
TOUS DROITS RESERVES< BOSTON
Fluide-consistante
Le silence de ton nom
Me transperce la mémoire
On dirait que ton corps
Est encore sous mes yeux
Cet amour maculé
De parfum et de pourpre
O ce soir mis en long
Sur la rampe de mon coeur
Tu m'envoute et l'esprit
Et le corps, et la plume
Ma pensée n'est plus mienne
Et en moi tout est toi
Et les hanches lumineuses
De tes joues succulentes
Ta gesture, et tes paumes
Et ce vide encombrant .
Frantz Le beau
Me transperce la mémoire
On dirait que ton corps
Est encore sous mes yeux
Cet amour maculé
De parfum et de pourpre
O ce soir mis en long
Sur la rampe de mon coeur
Tu m'envoute et l'esprit
Et le corps, et la plume
Ma pensée n'est plus mienne
Et en moi tout est toi
Et les hanches lumineuses
De tes joues succulentes
Ta gesture, et tes paumes
Et ce vide encombrant .
Frantz Le beau
Le coeur et ses battements
Les mots sont trop railleurs
Ce sont coeurs sans fond
Crois-moi de par le coeur
Mon coeur est mon sermon
Les vents font trop de bruit
Les mots peuvent s'envoler
Le coeur est infini
Dans sa sincerite
Crois-moi de par ses flux
Son ame, et ses battements
Car tout est superflu
Seul le coeur suit le temps .
Frantz Le beau
Ce sont coeurs sans fond
Crois-moi de par le coeur
Mon coeur est mon sermon
Les vents font trop de bruit
Les mots peuvent s'envoler
Le coeur est infini
Dans sa sincerite
Crois-moi de par ses flux
Son ame, et ses battements
Car tout est superflu
Seul le coeur suit le temps .
Frantz Le beau
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