Ton coeur
S'ajoutant à mes soirs
M'est comme un ciel luisant
Mille espaces, mille lanternes
Tes mains
C'est une nuit qui s'annonce
Sans que l'ombre de quatre heures
N'en tienne compte de son plein
Tes yeux
On dirait que les lunes
Se désistent de bon gré
Car étant convaincues
Tes joues
Ce sont des perles perdues
Sous la nuit onduleuse
D'un printemps détourne
Tes hanches
O j'ai peur a y croire
Car trop denses, trop houleuses
Leur vertige m'assassine
Ton nom
O ce verbe parfumé
Me hantant corps et âme
Meme mes rêves et ma lampe
Meme le ton de ma plume .
Frantz Le beau
TOUS DROITS RESERVES< BOSTON
vendredi, décembre 01, 2006
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