Waohhh !
On dirait une grappe de rimes féminines
Alignées sous un éblouissant soleil de Juillet
Formant un poème net
Complet
Pur
Dédié au nom chaud de l'été
Ainsi
Tes yeux
Tes seins
Tes hanches
Tes gestes m'imprègnent
Me fascinent
Me comblent
Me capturent
M'arrêtent
M'emprisonnent
Me gagnent
Tu es comme une bougie noire bien allumée
Déposée au milieu des jambes obscures du minuit
Assurant la descente certaine d'une heure du matin
Pour ainsi dire dans de la bonne marmite
Tu saccages tout sur ton passage
Tout !
Quand tu défiles de la sorte
Tu me fais voir mer lune soleil étoiles ... roses
Sous un large ciel de chair vive
Oui
Trop de souffle sous tes pas
Trop de beauté sous ton sourire
Trop de nature dans tes virées
Tu me vibres !
Mais
N'es-tu pas le corpus du monde dont je rêve chaque soir ?
Oui
Dis-moi
N'es-tu pas toi-même vraiment ?
Ma belle créole.
Frantz Le beau
vendredi, juin 06, 2008
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