En guise de l'or
D'opium
De discours sans fin
En guise de tout ...
Je te dis ce petit mot
Tout court
Tout simple
Frêle !
Tout apostrophé
Ce mot ...
Bref ... comme le temps
Celui-là qui congédiant le doute
Déclenche l'engin d'amour
Pour aboutir à la vie pleine et entière
A l'infini aux écorchures vivables
Au coeur
Je t'aime
En guise de tout
Je te le dis ... mon amour
Dans l'espoir qu'il saura
De son sel vivifiant
Te garder intacte
Vive
Et toi, et ta beauté, et tes gestes
Te perpétuer même après le mot-fiel-froid de la mort
ô même pendant que ton corps
Laisse l'enceinte de la cathédrale
Et que hurle bien fort le carillon
Oui
De sa mystique pure et rassurante
Il te ramènera au coeur même de ton sourire parfait
De tes cillements précieux
De tes courbes taquinantes
Car fait pour rendre à la reine
Ce qui lui est dû
Sa paix méritée
Sa joie intégrale
Son hymne
Et
Comme les eaux se compilent
Dans leur divine sagesse
Pour se retrouver dans le ventre large de la mer
Ainsi
D'un coeur rempli d'amour
D'un être ... enfin !
Je te le dis ... ô poétesse !
Afin que
Vie
Soit
En toi
D'éternité en éternité
Frantz Le beau
vendredi, mars 21, 2008
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