Quand la feuille se dessèche
Et les vagues de la nuit
Nuit noircie par la mêche
Vagues mouillées et brumeuses
La rosée ne rit pas
Le soleil plie ses yeux
Un refrain sort d'en haut
Et l'enceinte qui frédonne
Le silence se fait homme
Et le glas seul claironne
Un enfant qui sourit
Ses beaux jours dépassés
L'amertume et des larmes
Des regards qui se fanent
Des discours incertains
l'ignorance et l'enfance
Et l'on sort du dedans
Traverssant le couloir
ô doux petit cercueil !
Comme ton teint m'assassine.
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
samedi, novembre 18, 2006
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