Tes nouvelles me désertent
Comme un brin de soleil
On dirait que ta perte
Me serait sans pareille
Réveille-toi, reveille-toi
Réveille-toi ... ô gardien
Mes poemes ont trop froid
Rassure-les par tes mains .
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
vendredi, novembre 24, 2006
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