D'un éternel élan
D'un perpétuel cillement
D'un très profond amour
D'un gigantesque humour
D'un admirable baiser
D'une grande humilité
D'un véritable prétoire
D'un salutaire regard
Je te salue ô Dieu !
Le juge de tous les cieux.
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES
mercredi, novembre 15, 2006
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