Ainsi donc, tout se fane
Sous ses yeux et son corps
Le rêve d'or de ses dieux
Comme la muse de ses contes
La rosée pleine d'essence
De son air matinal
Et le rire de ses pages
Faites de sang et de verbes
Et rivée à elle seule
Au tréfonds de la honte
Tout s'abat sur son front
Même la brume des sordides .
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
mercredi, novembre 29, 2006
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