Le temps pleur ton absence
Ton retrait
Ta tiédeur
Ton silence
Tout mouille dans ses larmes
Il attend ton soleil
Tes rayons
Ta chaleur
Il attent que tu dise
C'est assez
Non! c'est pas droit
ô élite !
Il attend que tu lève le p'tit doigt
Pour que cesse ce cauchemar
Ces enfants qui s'adonnent à eux même
Ces vieillards relégués dans le noir
Ces vauriens qui méprisent les valeurs
Ces vautours qui abusent et qui tuent
ô toi ! qui dors
De ce sommeil trompeur
Oui
Il attend que tu fasse ton devoir
Oui
Toi étoile qui indique
Toi soleil qui réchauffe
Toi géant qui s'oublie
Lève-toi !
ô poête !
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES, NOVEMBRE 2006, BOSTON
samedi, novembre 11, 2006
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