Du monde de tout sans rien
L'embryon se détruit
Et l'obscur corridor
De la ruse se prolonge
Comme la peste de jadis
Il se rive jusqu'au coeur
De l'enfance qui sommeille
Dans sa nuit nébuleuse .
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
mercredi, novembre 29, 2006
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire