Tu t'agites sur le prisme
Du matin incertain
Et ta robe de tintin
S'entrelace à ses ismes
Tu rayonnes comme la marbre
Du soleil primitif
Et ton sombre plumitif
Puis ta vague de palabres
Et ces chars impassibles
Qui vibrant sur les crânes
Et ces tons destructibles
Entourant ta grande vanne .
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
dimanche, novembre 26, 2006
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