Ne m'appelles plus encor
ne me comptes plus mon vieux
la musique de ton cor
n'est pas celle du vrai Dieu
Eloignes-toi loin de moi
ô souillure ... ô noirceur !
trop longtemps tu t'asseois
sur le front de mes heures
Ta macabre renommée
a terni ma jeunesse
comme un chant oublié
au carrefour de l'ivresse
Bifurquant ma mémoire
loin du nom de mon maitre
j'ai fume ses déboires
et noyé mon bien-être
Et n'était-ce l'espérance
de ce maitre éternel
qu'adviendrait ma quittance
dans ce monde temporel
Retires-toi de mon sang
ô poison de la terre !
seul le Christ Tout-Puissant
est amour et lumière ...
Oui Lui seul est à même
de me rendre pur et sain
en tendant son diadème
sur ma honte et ma faim
C'est à Lui que le reste
de ma vie est dédie
ô quel Bon Père céleste !
ô quelle nette Saintete !
LE BEAU, FRANTZ
TOUS DROITS RESERVES, AOUT 2005, BOSTON
jeudi, octobre 12, 2006
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