Si toutefois je m'éteins
n'oublie pas mon chez moi
emmène-moi voir mon teint
pour la dernière fois
Ne m'entasse pas ... de grâce !
dans ce coin delirant
cet espace sans surface
s'allongeant sur le banc
Il ressemble a un vide
qui se ferme dans un tout
un soleil tout humide
manoeuvré par des loups
Un ivrogne sous le noir
d'une ivresse sans mesure
qui détient le tiroir
de la grande tablature
Un vautour explorant
les sentiers de la paix
prétextant que ses flancs
peuvent couvrir tout les frais
Un rasoir qui dérange
et les ongles et le doigt
s'imposant comme un ange
à la quête du bon droit.
LE BEAU FRANTZ
TOUS DROITS RESERVES, OCTOBRE 2006, BOSTON
manoeuvre par des loups
mardi, octobre 31, 2006
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