Quand je posais mes yeux
sur ta joue ce midi
je me sentais heureux
je te disais merci
J'ai souris ton sourire
me rappellant la joie
la joie d'un grand martyr
qui vit depuis en moi
Si je suivais peut etre
le fil de ton aisance
je dirigerais mon être
vers toi pour ma quittance
Et je contacterais
le coeur de ta pitie
pour panser les mefaits
que des hommes m'ont causes
Ainsi mes lendemains
me seraient sympathiques
car ouvrages de tes mains
ils seraient moins critiques
Je vivrais dans le clair
comme l'oiseau voyageur
et le sens de la terre
m'irait mieux ma p'tite soeur
Et la vie et l'espoir
chanteraient ta chanson
pour contrer mes deboires
faire luire ta compassion
Mettre sur pieds ton empire
sur les ruines de la haine
pour qu'enfin je puisse dire
ô reine brises-moi mes chaines!
LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES,JUIN 2004, BOSTON
lundi, octobre 02, 2006
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire