Oui ces bottes qui profanent
la senteur de tes mangues
et foncant leur rancune
sur la sueur de tes fetes
Ces chars engloutissants
et leur chaines ironiques
rigolant sur l'asphalte
de tes larmes incessantes
Ces vampirent qui rugissent
sur tes rives défroquées
et qui dansent le samba
de ton cher Assotor
De ces heures combien tristes
s'escalant sur tes rêves
et leur teint incestueux
qui se gonfle dans tes veines
Et ces chiens du dedans
qui partagent ton manteau
et ton coeur eternel
qui sourit sur le mât.
LE BEAU, FRANTZ
TOUS DROITS RESERVES, JUILLET 2001, HAITI
mardi, octobre 03, 2006
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