Comme un frère
un ami
un martyr
un soldat
comme le oui
la lumière
le soleil
la parole
Tu mérites d'etre place
sur le pan fulgurant
et ton corps mutilé
et tes pas exaltants ...
Tu étais pour mon père
ce que l'autre n'était pas
cet ami si sincère
qui courut vers sa voix ...
Ce soldat responsable
qui traduit le devoir
ô ami charitable !
ô martyr de la gloire !
Pour toujours tu rayonnes
dans le coeur de mon ame
pour avoir fait aumone
à l'amour et sa flamme .
LE BEAU, FRANTZ
TOUS DROITS RESERVES, 17 OCTOBRES 2006, BOSTON
mardi, octobre 17, 2006
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire