Je vois un clair soleil
Qui n'est plus celui d'hier
Son air glisse sur la pierre
Comme un rire qui sommeille
Et le glas de ses yeux
Pleins d'amour et d'espoir
Rend son air merveilleux
Plus charmant qu'un grand phare
Et son axe, et son arc
Contourent bien sa surface
C'est pareille à un parc
Pour enfants trop loquaces
O soleil ! je salue
Ta visite enchantée
Et ton air de Jésus
Et ta toute sainteté .
FRANTZ LE BEAU
TOUS DROITS RESERVES, BOSTON
vendredi, novembre 24, 2006
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